Certains sucres présents dans le lait de mères infectées par le VIH protègent les nouveau-nés d'une contamination par le virus, d'après une récente étude internationale.
Ne pas allaiter pour protéger son bébé? Si la
question peut paraître incongrue compte tenu des bienfaits reconnus du lait
maternel, elle ne l'est pas pour les mères séropositives (infectées par le VIH)
pour qui l'allaitement représente un risque de transmettre le virus à leur
nouveau-né. Le choix se complique encore dans les pays en voie de
développement, où les enfants non allaités sont plus fragiles face aux
infections et à la malnutrition. Ce dilemme pourrait bien être en partie résolu
par la découverte de chercheurs américains et africains: le lait maternel
contient un type particulier de sucres capables de rendre les nourrissons plus
résistants contre le virus.
Malgré la concentration élevée du VIH dans le lait
de femmes infectées, le risque de transmission mère-enfant par l'allaitement
reste relativement faible (de 15 à 20% lien). D'où vient alors cet effet
protecteur du lait?
Pour le savoir, l'équipe du Dr Lars Bode, spécialiste en
nutrition pédiatrique à l'université de Californie à San Diego, s'est
intéressée aux oligosaccharides du lait humain (le lait de vache en contient
très peu), de longues molécules composées de plusieurs sucres attachés les uns
aux autres. Troisièmes constituants solides du lait après le lactose et les
graisses, ces sucres sont de plus en plus étudiés ces dernières années en
raison de leurs effets favorables sur le système immunitaire des nouveau-nés.
Un leurre anti-infection
Les chercheurs, qui viennent de publier leurs
résultats dans la revue American Journal of Clinical Nutrition, ont donc voulu
savoir si les oligosaccharides étaient la clé de la protection du lait maternel
contre le VIH. À Lusaka, en Zambie, ils ont suivi 200 femmes séropositives et
leurs bébés, de leur naissance jusqu'à l'âge de2 ans, en analysant la
composition du lait des mamans. Résultat: plus les laits étaient riches en
oligosaccharides, plus les bébés allaités étaient protégés contre le virus.
Même en l'absence de traitement antirétroviral de la mère ou de l'enfant (qui
réduit de moitié le risque de contamination), 10 à 15% des bébés allaités
«seulement» ont contracté le virus.
Tout se joue en fait au niveau de l'intestin: ces
sucres lactés protecteurs ne sont pas digérés et arrivent donc intacts au
niveau du colon des nourrissons. Là, ils agissent comme un leurre
anti-infection, explique le Dr Bode: le VIH se fixe en effet aux oligosaccharides
au lieu de s'attacher aux sucres recouvrant les parois de l'intestin, qui sont
l'une des voies d'entrée du virus dans l'organisme. D'ailleurs, cette action de
barrière ne concerne pas seulement le virus du sida mais aussi de nombreux
autres microbes néfastes pour l'organisme.
Les bienfaits des oligosaccharides ne s'arrêtent pas
là puisqu'ils agissent également en tant que prébiotiques, c'est-à-dire qu'ils
stimulent les bactéries bénéfiques de la flore intestinale (les
bifidobactéries), participant ainsi à la maturation de l'intestin des
nouveau-nés. Cela s'ajoute à leurs propriétés anti-inflammatoires qui
contribuent à réguler la fonction immunitaire, explique le chercheur américain.
Ces sucres salutaires pour les bébés ne seraient
toutefois pas les seuls responsables de l'effet protecteur du lait maternel
contre la transmission du VIH. En mai dernier, d'autres scientifiques avaient
identifié des anticorps capables de neutraliser le virus, constituant un autre
moyen de défense.
Qu'ils s'agissent des sucres ou des anticorps, ces
résultats pourraient en tout cas à améliorer la prévention de la transmission
mère-enfant du sida, espèrent les chercheurs. Depuis 2010, l'Organisation
mondiale de la santé (OMS) recommande aux mères séropositives l'allaitement
maternel protégé qui consiste à traiter par antirétroviral la mère et l'enfant
(quand les médicaments sont disponibles). La baisse mondiale de 24% de la
contamination des enfants en 2011 est certes une bonne nouvelle, mais ils
étaient encore 230.000 à succomber au sida, dont 91% en Afrique subsaharienne.
Source : Le
figaro.
Tout d'abord, yay! Si vous êtes malade? Vous n'êtes plus dans le noir, et c'est la moitié de la bataille. Deuxièmement, ne vous découragez pas. Même s’il peut être difficile de ne pas se faire avoir par les hauts et les bas (il a fallu passer par toute une catégorie de médicaments, des séances de thérapie physique sans fin, des lancers multiples, des spécialistes différents et prendre un médicament tous les jours pour rester en vie. C’est pour moi que je dois dire que j’ai le VIH / Herpès depuis 2003, année où j’ai été violée, que j’ai trouvé quelque chose en quoi croire que je serai sauvé un jour, c’est difficile de dire quoi que ce soit) et l’épidémie me rappelle comment la maladie. Après avoir eu la chance de rendre visite à mon ami africain à Miami, il m'a parlé du Dr Itua qui réside en Afrique de l'Ouest (Nigéria). Je sais que le pays a beaucoup de choses là-bas, mais je dois juste lui faire confiance et continuer. avec le traitement, heureusement, je le prends pendant deux semaines, comme le Dr Itua me l’a recommandé. Après deux semaines, j’ai passé un test, puis j’ai découvert que j’étais guéri. La phytothérapie n’a aucun effet secondaire et je suis en bonne santé aujourd’hui plus de pilules ni épidémie, je récupère ma vie maintenant, progressivement. Contactez le Dr Itua si vous souffrez des maladies ci-dessous ... VIH / sida, herpès, maladie génitale ou orale, verrue, zona et ampoules, bouton de fièvre, lupus, maladie de Lyme chronique, maladie d'Alzheimer, maladie de Parkinson, hépatite A / B. Diabète, cancer. Informations de contact ... drituaherbalcenter@gmail.com Ou numéro Whatsapp ... + 2348149277967. ...
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